Ne meurs pas tout de suite, on nous regardeChorégraphie et Interprétation: Manuel Roque et Lucie Vigneault
Erzatzs d’Adam et Eve version post‐apocalytique , L et M sont peut‐être les deux derniers humains sur terre.
Mais cela n’a aucune importance.
Ils jouent
Ensemble, ils narguent le néant, réinventent le chaos et flirtent constamment avec un existentialisme kinétique.
A partir du questionnement sur le flot croissant d’informations qui atteint nos synapses, “Ne meurs pas tout de suite, on nous regarde” met l’emphase sur la façon dont l’humain interragi avec son environement. La pièce s’attache au sensible, à la part impulsive de nos réations , à l’absurdité sous jacente de nos sociétés modernes.
Et à la part d’enfance qui subsiste en nous.
Répétitrice: Indiana Escach
Dramaturgie: Peter James
Éclairage et direction technique: Judith Allen
Assistante éclairage et direction technique: Karyne Doucet Larouche
Costumes / Accessoires / Scénographie: Marilène Bastien
Trame sonore: Manuel Roque (avec des extraits d’interview de Stephen Hawking,
de Deleuze, un extrait sonore de Happiness (film de Todd Haynes), un organiste
anonyme, des passants torontois, le chihuahua de la rue dorion, un anonyme
sauteur à la corde, une bouilloire française, un chanteur parisien dans la rue…)
Musique: Duffy / Françoise Hardy
Durée: 60 min.
Tarif : 20$
Présenté par Tangente et co‐présenté par le festival Quartier‐Danse
