Veuve depuis deux semaines, une femme vient piqueniquer sur la tombe de son mari pour y vider le trop-plein accumulé. Il lui faut dire, raconter, avec dérision et humour, pour briser le mur du silence dans lequel ils s’étaient emmurés depuis trente-sept ans : l’éternité. Les musiques de la vie, chargées d’absurdité, lui offrent cette dernière danse.
Deux semaines après l’éternité est un hommage à nos mères, nos grand‐mères, ces femmes qui se sont oubliées pour élever leurs enfants, ont abandonné toutes perspectives de carrière et enfoui leurs rêves au profit de la famille qu’elles se devaient d’avoir. Pour offrir à l’homme une descendance. Le mari, le père et ses fils… Ainsi soit‐il !
Décor et costumes : Vanessa Cadrin
Assistée de : Anne Prolongeau
Éclairages : Philippe Séguy
Coût : 20$ (12$ pour les étudiants) - argent comptant seulement
Une production du Théâtre du Transport en commun