Entre le rituel libératoire et le folklore alpin, cette oeuvre de Simon Mayer nous transporte sur la place d’un village quelque part dans le Tyrol. Progressivement, il nous entraîne dans un Schuhplattler avec sa bande, écaillant le vernis paysan et nous révélant l’héritage sous l’angle de l’émancipation. Avec humour et audace, le chorégraphe porte un autre regard sur la tradition et ce qu’elle dit du rapport
au pays. L’occasion de découvrir ce jeune prodige autrichien.
Danseur, chorégraphe, performeur et musicien, Simon Mayer a grandi dans une ferme avant d’effectuer sa formation au Ballet de l’Opéra national de Vienne puis à P.A.R.T.S. Il danse pour Anne Teresa De Keersmaeker, Wim Vandekeybus et Zita Swoon puis développe son propre travail. Ses créations, à mi-chemin entre la danse contemporaine, les danses issues du folklore autrichien, la musique électronique et les chants traditionnels yodels, sont présentées à travers le monde.
Concept, chorégraphie, performance, musique Simon Mayer
Performance, musique Matteo Haitzmann, Patrick Redl, Maunel Wagner
Crédits supplémentaires et autres informations
Instruments spéciaux Hans Tschiritsch
Scénographie et conception costume Andrea Simeon
Conception lumière Ruschbaschan, Martin Walitza
Consultant artistique Frans Poelstra
Directeur technique et éclairage en tournée Jan Maria Lukas
Photo Arne Hauge
Discussion avec le public après la représentation du jeudi 11 avril
Durée 1h
Tarifs
régulier 38$ / aîné 34$ / réduit 32$
Frais :
En ligne 3,75$ par billet
Au téléphone 2,75$ par billet
Pas de frais directement à la billetterie
Production à la création Sophie Schmeiser, Elisabeth Hirner Production en tournée Hiros & Kopf Hoch. Avec le soutien de The City Of Vienna’s Department of Cultural Affairs, The Arts Division and the Culture Division of the Federal Chancellery of Austria, Kulturland Oberösterreich, Vlaamse Gemeenschap, Kunstenwerplaats Pianofabriek, Wp Zimmer Antwerp, Im_flieger, Kunst-Und Kulturverein Spiel
Présentation Usine C, avec le soutien de l’Ambassade d’Autriche et du Conseil des arts du Canada