20 h
Lever de rideau
Titre : Le trio du motton (chorégraphie tirée du spectacle Amqui)
Chorégraphe : Marie-Ève Albert
Danseurs : Amélie Bédard-Gagnon, Virginie Desloges, Shanie Philibert
Horreur et ravissement
Texte : Emmanuelle Jimenez
Mise en lecture : Geoffrey Gaquère
Distribution : Hélène Mercier, Sylvain Scott et Gary Boudreault
Synopsis : Jessica Lange et Jeff Bridges, les deux vedettes du film King Kong, se retrouvent trente ans plus tard pour travailler sur l’adaptation de King Kong en comédie musicale. Pour incarner le personnage de King Kong, ils débusquent un ancien acteur de comédie musicale recyclé en gardien de zoo, John Ragoora. Sur le chemin qui les mènera de King Kong, le film, à King Kong, la comédie musicale, Jeff, Jessica et John surmonteront de nombreuses embûches liées au choc entre cinéma et théâtre pendant que se dessinera entre eux un redoutable triangle amoureux. Mais ce qui s’imposera à eux, c’est l’évidence, qu’une force extérieure préside depuis le début à toute cette aventure : l’esprit de Kong lui-même.
Phrase sur la résistance : Pour ce qui est de résister, je regarde les plantes. Non mais les avez-vous vues se battre pour sortir de la terre et produire des fleurs? Je vais essayer de continuer de faire ce que j’ai à faire.
Notice biographique : Diplômée du Conservatoire d’art dramatique de Montréal en 1996, Emmanuelle Jimenez a joué dans de nombreuses productions dont Les Mots de Jean-Pierre Ronfard (Nouveau Théâtre Expérimental), Des Fraises en janvier d’Evelyne de la Chenelière (Productions À tour de rôle), Oreste d’Euripide (Théâtre de l’Opsis) et Pacamambo de Wajdi Mouawad (Théâtre de l’Arrière Scène). En 2000, elle écrit sa première pièce produite par un théâtre professionnel : Oui, madame la ministre! comédie politique. Pfft!… À plus tard et Héros de réforme, deux courtes pièces, furent présentées lors de cabarets du Théâtre Ni Plus Ni Moins. Tout en continuant d’exercer le métier de comédienne, elle se consacre de plus en plus à l’écriture dramatique. Sa pièce Du vent entre les dents, qu’elle avait présentée au Festival du Jamais Lu en 2003, vient d’être présentée en début d’année au Théâtre d’Aujourd’hui.
